1 novembre 2015
La robe est cuivrée, brillante.
Le premier nez est marqué, délicat. Le second nez est riche. Dominé par le coing, il combine également le miel et la cire (ce qu’on appelle les notes encaustiques).
La bouche est superbe, dans le registre de la finesse, pas lourde pour un sou. Sa jolie finale, également fine, finit de conquérir l’amateur.
On peine à imaginer qu’il s’agit d’un moelleux tant on est dans le vin aérien, juste.
EXCELLENT RAPPORT PLAISIR PRIX (aux alentours de 15 euros).
un coup de coeur.
Démarrée sur le fromage, la bouteille a parfaitement officié également sur le dessert (une tuile fourrée à la mousse de banane). Ce vin bio accompagne aisément une fin de repas sans risque de lendemain douloureux (sous réserve de modération) puisque le dosage en souffre est très limité.
Une information désolante : la propriété n’existe plus.
J’avais beaucoup aimé les secs : ici, et ici.
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